Clem & Ced in USA

28 août 2007

Faut pas avoir le vertige (1/2)

Filed under: Premier voyage : 2007 — Clem Bougealyon @ 1:43

Nous sortons repus, et marchons sur la cinquième (avenue). Nous achetons un premier lot de cartes postales (nous nous apercevrons plus tard que c’était un lot très cher et très laid en fait… un attrape-touristes somme toute)

Puis nous passons devant l’Empire State Building…

«On monte ? que je dis à Cédric

– Bah non. Je pense que c’est cher. Qu’il me répond.

– Ouais m’enfin on n’est pas venus à New York pour ne rien faire de payant. I mean, c’est quand même l’Empire State Building !!!

– Bon aller, d’acc !»

Et nous voilà dans le hall d’entrée couvert de marbres importés d’Italie, France, Belgique et Allemagneimg_3448.jpg

puis nous montons un escalier et nous nous retrouvons à acheter nos tickets sans même faire la queue (25$ par personne) et à prendre de la doc. Il faut croire que c’est la bonne heure pour faire cette visite.

On passe dans des couloirs assez luxueux, mais en fait, le plafond… n’existe pas vraiment. On voit les conduits, des fils pendouillent, des tuyaux font mine de nous menacer, c’est rigolo ce contraste.

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Nous suivons les panneaux, tournons à gauche, puis à droite, montons encore un escalier, et arrivons dans l’antre des ascenseurs. Et là… ah bein là en fait, y a du monde qui attend… On attend avec eux. D’autres personnes arrivent, comme nous.

Des employés régulent le flot des allers et venues dans les ascenseurs. C’est eux qui, grâce à une télécommande, ordonnent aux portes de l’ascenseur de se fermer et nous font partir pour le 80è étage.

Puis arrive notre tour de monter dans un ascenseur.

Explications historiques, théoriques, touristiques et architectiques

Du haut de ses 1250-foot, ou 381 mètres, l’ESB ( = Empire State Building, je ne le répeterai pas) domine New York depuis le 1er mai 1931 grâce à Alfred E. Smith, ancien gouverneur de l’état de New York.
L’ESB (non, non, je ne le dirai pas, fallait suivre) reçoit autour de 4 millions de visiteurs chaque année, des gens fantastiques comme Ced et moi, mais aussi des rois, reines, présidents de tous les pays, des personnalités du monde entier, sans oublier King Kong himself !!

60 000 tonnes de bétons ont été livrées en une fois, afin de permettre la construction quotidienne d’au moins deux étages.

210 colonnes supportent la structure entière.

Une équipe de 290 maçons ont consciencieusement (super dur à écrire ce mot !!!) placé les plus de dix millions de briques !!

2,5 million feet de câbles électriques, 120 miles de tuyaux, 1000 miles de câbles téléphoniques, 6500 fenêtres, 1860 marches.

Le bâtiment pèse environ 365 000 tonnes.

L’équivalent de 7 millions d’hommes par heure a construit ce bâtiment (4000 hommes par jour).

41 millions de dollars, c’est ce que ça a coûté.

La construction de l’ESB s’est faite 7 jours sur 7, à raison de quatre étages et demi par semaine, et s’est donc complètement achevée en 1 année et 45 jours.

On ne nous dit pas combien il y a eu de morts pendant la construction…

Il y a 73 ascenseurs allant à la vitesse de 1400 feet (427 mètres) par minute !!!! 427 mètres par minute, est-ce que tu te rends compte ??

Et justement, c’est à nous de monter dedans. Gloups… direction le 80è étage pour la première étape…

Hooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuwwwwwwwww !!!!!!!!!!

Ah ça oui, ça décoiffe !!

Au 80è étage, il y a beauuuuucoouuup de monde. On fait la queue dans un labyrinthe de cordons,

img_3413.jpgpour accéder aux autres ascenseurs, de l’autre côté du bâtiment, ceux qui mènent au sommet, au qua –

tre –

vingt –

six –

zième étage.

En attendant, on peut quand même voir à travers les grandes fenêtres. Et déjà, là, c’est impressionnant. Mais nous sommes à peu de chose près au même niveau que les autres grands immeubles.

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Ici, c’est le point de rencontre de ceux qui attendent pour monter et de ceux qui veulent redescendre … On attend donc…

Donc…

… vous aussi ! 😀

Aller on y va. Un dernier truc, voici l’ESB vu d’en bas, quelques blocs plus loin :

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Et voilà ce que nous voyons en levant à peine la tête lorsque nous sortons, dehors, où nous arrivons sous ton regard ébahi, émerveillé et un brin effrayé :

img_3447.jpg

La suite dans le prochain billet, où je prendrai le temps de te faire visiter le Nord, l’Ouest, le Sud et l’Est de New York, tout ça vu d’en haut…

Patience, courage !

(et ne mange pas avant si tu souffres de vertige)

Un petit supplément ; re bon appétit !

Filed under: Premier voyage : 2007 — Clem Bougealyon @ 12:11

Fine Food Market Place

Gourmet Coffee and Tea – Homemade Breakfast
Exceptional Pastry – Hot & Cold Buffet
Chocolate & Confections – Fine Prepared Foods
Fresh Breads Baked Daily – Gyro, Sandwiches & Panini
Gourmet Brick Oven Pizza – Homemade Soups
Delicatessen, Caviar & Pate – Imported & Domestic Cheese
Gourmet Tosses Salads – Exotic Fruits
Fresh Pasra & Sauces – Health & Juice Bar
Taco’s & Burrito’s – Sushi, Sashimi & Miso
Farms Fresh Dairy – Quality Grocery
Fine Olives & Oil – Fresh Produce
Fresh Meats & Sausages – Frozen Goods
Fresh Seafood – Exotic Herbs, Spuces & Grains
Fine Catering (all occasions) – Fresh Flowers
Corporate Parties – Gift Baskets & Gift Boutique

http://zeytinz.com/

24 août 2007

J’ai vu New York, New York uèsssaaaaaaa (2)

Filed under: Premier voyage : 2007 — Clem Bougealyon @ 7:03

Ouais bon on s’affole pas parce qu’en même temps, je vous rappelle chers touristes que New York me connait déjà hein. Ho hé, on n’oublie pas une nuit par terre dans New York aussi facilement quand même ! (Perte de mémoire ? Tu peux cliquer )

Mais bon c’est clair, on est bien moins fatigués, bien plus préparés.

Notre car arrive à Pennstation, on connaît presque par coeur et on se situe parfaitement dans New York ; cool. Rien qu’avec cette phrase, on peut se la péter 🙂

On marche un moment dans les rues de New York, on s’extasie sur la grandeur des skycrapers, de ces buildings si représentatifs des grandes villes américaines…

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Nous découvrons un petit square dans lequel sont disséminées des tables de bistrot avec chaises… sans bistrot à qui elles appartiennent ! Les gens se posent là pour discuter, lire leur journal, réviser, se reposer, ou manger leur sandwich… On trouve ça complètement amazing et vraiment généreux de la part de la ville.

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Puis on réalise qu’on a très faim, et on tombe sur un endroit dont le concept a occupé mon esprit un sacré bout de temps ; et si j’essayais de monter ça en France ?

Je m’explique cher touriste : tu entres dans un lieu où tu peux soit manger sur place, soit emporter ta nourriture. Ok jusque là, rien d’extraordinaire, j’en suis bien consciente. (« Ouf » te dis-tu)

Mais là où réside l’originalité du truc, c’est que la « boutique » est morcelée en différents points culinaires :

  • Le typique américain mais en produits frais :

– Steacks frites

– Saucisses

– Je ne sais plus trop quoi d’autre parce que ça ne m’intéressait pas, mais il y avait 4 à 6 plats différents.

  • Le typique italien, décoré d’articles rappelant l’Italie :

– Des lasagnes

– Différentes sortes de pizza

– Un large choix de pâtes accommodées de différentes sauces italiennes…

  • Le typique asiatique, ornementé de lanternes rouge et or, peut-être quelques dragons par-ci par-là :

– Des nems

– Du riz, nature ou cantonnais

– Des nouilles chinoises

– Des viandes sautées, ou caramélisées,

– Des poissons à la vapeur…

  • Le buffet salades, ne nécessitant aucune décoration tellement chaque plat ou saladier est une oeuvre d’art :

– Des légumes crus merveilleusement présentés

– Plein de types de salade verte (oui, même de la roquette !!!)

– Des salades composées capables de faire saliver un lion ou un crocodile

– Plein de sauces

  • Le buffet pâtisseries à la française
  • Et un ou deux autres ; je ne les ai pas tous bien vus.

Ce n’est pas un resto-supermarché, non non non. Tout est frais, les plats sont cuisinés devant toi. Lorsque nous arrivons vers 11.30 am, il n’y a pas grand-monde.

Je jette mon dévolu sur le buffet salade ; je comprends qu’on a le choix entre prendre une « petite » barquette (que l’on peut refermer pour l’emporter), ou une plus grande. Que l’on remplisse la barquette ou pas n’a pas d’importance, tu payes le même prix. Tarif small, ou tarif big. Je m’empare d’une big one et je prends mon temps pour me servir. Je n’en reviens pas. Je n’ai jamais vu ça. C’est tellement plus chic et luxuriant que dans une cafétéria ! Je passe ensuite à la caisse et croise Ced au passage qui lui, fait la queue au coin… américain (Ooohhhhhhh, trop bateau !).

J’ai tellement faim que je monte « au réfectoire » en projetant de ne prendre des photos qu’au moment du départ. (Malheureusement, ce fut une mauvaise idée)

En haut, ça ne paye pas vraiment de mine. Mais on a vue sur le fameux square aux tables bistrot. Voici une vidéo culinaire :

Et la suite beaucoup moins appétissante et originale :

Après ce festin (Cédric n’a même pas fini ses frites, et moi, j’ai pas pu finir mes boules de mozza tellement elles avaient mariné dans le piment), nous sommes d’attaque pour marcher autant qu’il le faut pour visiter la grosse pomme !

Nous redescendons et là, oh malheur ! Il y a tout plein de monde maintenant et du coup pour mes photos, ça rend que dalle. Bouhhouuu…

img_3404.jpgimg_3405.jpg

16 août 2007

J’ai vu New York, New York uèsssaaaaaaa (1)

Filed under: Premier voyage : 2007 — Clem Bougealyon @ 11:25

Cher touriste, j’ai omis de préciser que j’avais acheté le

et à part dans le train, le jour de notre départ de France, nous l’avons bien étudié en ce fameux lundi calme, afin de voir où nous allions dormir, surtout. Parce que nous projetions de passer au minimum 2 nuits et 3 jours dans la grosse pomme… Nous avons passé 2 coups de fil, peu concluants.

Bref, let’s go to the june 19th !

On part prendre le car de 7.55 pour New York. Hop on part après un gros p’tit dèj, assez en avance. Tant mieux parce qu’on met un peu de temps à trouver où on peut laisser notre voiture 3 jours sans soucis. Puis à trouver l’endroit où acheter nos tickets et prendre le car… Mais ça y est, et il n’est pas tout à fait 7.45, donc on est bons. Un car est posté devant le bureau d’accueil, des gens sont en train d’embarquer, nous sommes donc bien au bon endroit. Le gars au guichet n’est pas bien pressé de s’occuper de nous. Il s’écoule environ 2 minutes. Le monsieur daigne enfin nous prendre en compte. Cédric demande 2 trajets pour New York pour 7.55. Le type prend bien son temps pour nous dire que ce car n’existe pas… Pardon ???? Ced montre le papier des horaires de car. Hum… comment ne pas humilier mon cher et tendre en relatant cet épisode ?…

Je t’aime Cédric, quoiqu’il en soit !!!

Sais pas si ça suffira…

Le gentil employé du guichet regarde Cédric avec un sourire… comment dire ? Un sourire… à la fois amusé et navré. Si, si, c’est possible. Et il lui dit, aussi neutre que possible que oui, il y a bien un car pour New York à 7.55, mais pm, not am !!!

Cédric lance un cri du coeur «How could I know ???!!?!?!?!»

(Hum… Ne lis pas la suite mon chéri)

Tout simplement que les horaires sont notés de manière chronologique et que donc, par logique, à défaut d’avoir vu que les horaires en gras correspondaient à l’après-midi, les premiers trajets sont écrits au début, et les derniers à la fin ; celuis de 7.55 tant convoité était écrit à la fin, et en gras…

(Le car derrière nous s’en va.) Bon, je tente timidement de calmer Cédric en lui disant que ce n’est pas la faute du gars. Lequel de nous pointer du doigt le car s’éloignant lentement, en nous disant que

– This one goes to NYC

– !!!! (qu’on fait)

– … (qu’il fait en réponse. Peut-être même qu’il étouffe un toussotement dans sa tête)

– What time for the next one ? (je demande en priant pour que Cédric ne lui saute pas à la gorge)

– 8.30 am. Do you want 2 tickets ?

– Yes please… (of course banane !)
Je vous passe les grossièretés proférées par mon chéri, sur le système horaire basé sur 12 heures. Nous allons nous asseoir dans un coin de verdure, fumer une cigarette en attendant notre prochain car pour la grosse pomme.

On va y arriver oui ??

Une petite page de pub :

faites-des-economies.jpg

Chose qu’on ne verrait jamais en France !!!

Ouiiiii il est 10h45 et voici ce que nous voyons depuis la fenêtre du car (Clique doit pour voir en grand) :

vue-du-car.jpg

Oui, juste à droite de l’hélicoptère, c’est l’Empire State Building 😉

L’excitation monte. Oh putain les gars !!!! Hiiiiiiiiiii !!!!!!! J’suis à New York !! Moi Clem !!

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